We are so American and we go to Nou Yaurk! I spik so goud inglish and mai accent is so byoutiful. Après cette introduction d’anglais médiocre, je vais vous narrer notre aventure à New York!

DIMANCHE 20 AVRIL :

Embarquement : Tout bon voyage commence par un bon train! Après être parti pour la gare centrale de Montréal avec une tonne de bagages, une mère, un frère et un père qui nous a rabâché pendant tout le trajet en métro, que le train était un train d’Alstom et qu’il était génial et qu’on n’allait pas s’ennuyer pendant 11h00 de train, on a enfin pu embarquer (j’ai oublié de préciser qu’on avait aussi avec nous notre petit cousin et notre petite cousine, qu’on a mis dans nos bagages parce que ça coûte trop cher les billets de train, et notre oncle (qui n’a pas pu entrer dans les sacs à cause de ses muscles saillants) et notre tante (qui n’a pas pu entrer dans les sacs à cause de son charisme qui a même réussi à déchirer le sac en deux!)). Enfin bon, avant d’embarquer on a du faire une giga longue queue (je rigole : en fait, ils nous ont fait doubler tout le monde parce qu’on était une famille) pour aller voir les responsables de l’embarquement.

Train : Étant en manque d’affection, et comme tous les autres parlaient et que mon frère sentait trop mauvais pour rester plus d’une heure à côté de lui, j’ai décidé de me nouer d’amitié avec une tomate cerise que j’ai appelée « Tuvafinirdanmonventre ». Tuvafinirdanmonventre était une amie sincère à qui je pouvais tout confier, en étant sûr qu’elle ne le dirait jamais à personne. Après avoir malencontreusement tué Tuvafinirdanmonventre I, écrasé Tuvafinirdanmonventre II, perdu Tuvafinirdanmonventre III et porté disparu Tuvafinirdanmonventre IV à proximité d’un sac qui poussait d’étranges grognements et criait « libérez moi! », j’ai décidé de créer un bunker spécialisé pour Tuvafinirdanmonventre V dans un pot de tomates cerises. Après avoir exterminé toute la famille et les amis de Tuvafinirdanmonventre V, pour lui laisser plus d’espace dans son bunker, je lui ai créé une protection spéciale en l’entourant de 5 générales olives et de 2 lieutenants chips goût barbecue. Pour m’assurer que les lieutenants et les générales n’étaient pas des ennemis traîtres, j’ai mangé une générale olive et un lieutenant chips, et j’ai dû admettre qu’ils étaient tous des traîtres, ce qui m’a obligé à tous les dévorer. Maintenant que Tuvafinirdanmonventre V était protégée à 100%, j’ai découvert un nouvel ami : le sac étrange! En effet, j’ai posé le sac étrange entre moi et le bunker de Tuvafinirdanmonventre V, et je lui ai posé quelques questions… J’ai par exemple découvert qu’il s’appelait Mano (étrange car mon petit cousin s’appelle aussi Mano mais ce n’est sûrement qu’une coïncidence). Il m’a aussi dit qu’il avait un grand cousin de 13 ans nommé Pierrot, habitant au Canada depuis bientôt 1 an, allant à l’école du CIMF, ayant un frère ne sentant pas bon, une jolie et gentille mère nommée Aude et un père qui s’était déguisé en double face pour Halloween (toujours et encore des coïncidences!). Mais malheureusement, le bonheur ne pouvait plus durer et c’est là que la réalité nous rattrapa… Quand le douanier américain arriva et nous demanda nos passeports tout se passa bien. Mais quand j’ai montré la carte d’identité de Tuvafinirdanmonventre V, il a rigolé et a dit qu’on ne pouvait pas transporter de tomates cerises sur le territoire américain, et qu’il devait jeter Tuvafinirdanmonventre V. La réalité mit 5 secondes à me rattraper, et dans un dernier espoir je rayai le mot « cerise » de « tomate cerise » sur sa carte d’identité… Malheureusement les tomates n’étaient pas non plus acceptées sur le territoire américain… Après avoir vu mon amie disparaître entre les mains du douanier, j’ai créé une association appelée « Protection des Tuvafinirdanmonventre, des Tomates Cerises et des Tomates Cerises Préférants Être des Tomates » aussi appelé « P.T.T.C.T.C.P.E.T. ».

Après ce passage traumatisant de ma vie, je suis resté figé, sans émotion, une larme coulant doucement sur ma joue, dans le train, pendant 8h, tout ça à cause du sac étrange qui m’avait dit : « le premier qui bouge ou qui cligne des yeux se fait jeter du train par l’autre ». Quand nous sommes arrivés, j’ai regardé discrètement dans le sac étrange, et j’ai découvert à travers les 15cm de tissu que le sac étrange trichait depuis le début! En effet, dans le sac il y avait un petit garçon d’à peu près 1m35, yeux bleu-gris, 57 cils, un t-shirt pat patrouille et 122 368 cheveux blond-pâle. Ce sacripant avait profité du fait que je ne puisse pas le voir pour cligner des yeux tout au long du trajet, et en plus il m’a pris en photo à mon insu depuis l’intérieur du sac avec mon téléphone qu’il m’avait volé auparavant! Je vous montre ici-même les photos choquantes qu’il a prises :

Arrivée à New York : Après avoir jeté le sac par la fenêtre du train puisqu’il avait perdu, je sortis du train car nous étions arrivés. Je me suis dit qu’après plus de 11h de train (on était arrivé à 22h30 et pas à 22h, donc ça ne fait pas 11h pour ceux du fond qui n’ont pas pris math en spécialité au lycée), on aurait pu voir enfin le beau ciel de New York. Eh bien non!!!!! Après 11h30 de trajet, on a encore dû :

• chercher la bonne station de métro (les 2 premières étaient fermées pour aller jusqu’au Queens, où nous avions prévu de dormir)
• se rendre compte qu’on a oublié le sac étrange à côté du train
• faire tout en sens inverse
• prendre le sac et découvrir avec stupeur que notre petit cousin était dedans
• refaire tout le trajet en métro jusqu’au Queens
• dormir dans le métro (très important)
• et enfin, aller se coucher après bien des difficultés en se rendant compte en s’endormant dans notre lit douillet, que vu qu’on a dormi dans le métro et que les parents nous ont portés jusqu’à la maison, on n’a même pas pu voir New York!

Si vous voulez des vraies photos du trajet faites par mes parents, en voici :

LUNDI :

Découverte : Nous voilà pour la première fois dans le centre-ville de New York (Manhattan) et franchement qu’est-ce que c’est animé ! Dès qu’on sort, on voit des centaines de gens marcher sur des grands trottoirs et des gigantesques panneaux publicitaires qu’on ne peut retrouver que dans les grandes villes comme New York ou Tokyo. Après une rapide découverte des grands immeubles qui nous surplombent, on part directement pour l’Empire State Building qui (était) le plus grand immeuble de New York auparavant.

D’ailleurs je ne sais pas si vous saviez mais dans « Super Mario Odyssée », la ville appelée « New Donk City » est totalement inspirée de New York ! La preuve étant l’Empire State Building en plein milieu de la ville :

On va donc devant l’Empire et après un peu de queue, on peut enfin commencer à grimper cet immeuble titanesque (enfin, en fait, on ne le grimpe pas vraiment vu qu’on prend les ascenseurs sur 83 étages, environ hein je ne connais pas le nombre d’étages par cœur). Pour monter en haut, on passe déjà devant une petite exposition sur l’Empire qui comporte : une maquette et une exposition sur les ouvriers qui ont créé ce monstre de 102 étages (oui je suis allé voir le nombre sur internet) et qui a pris 13 mois de construction ! On a aussi vu King Kong à travers une fenêtre de l’immeuble et nous sommes allés lui serrer la main car c’est tout de même un très bon ami ! Et pour finir Vincent est devenu le nouveau patron de l’Empire !

Après l’exposition, on est enfin au point d’observation en montant dans un ascenseur magnifique.

Une fois en haut on a pu profiter d’une vue sur toute la ville et c’était franchement magnifique !

On a aussi pu voir la plus grande grue du monde sur l’autre côté de l’immeuble car celle-ci était plus grande que littéralement tous les immeubles de ce côté-là de la ville !

J’ai même réussi à prendre en photo la statue de la liberté avec mon téléphone à l’intérieur d’une des jumelles à disposition !

Et pour finir, on a trouvé une deuxième ressemblance avec Mario Odyssey car en effet on a vu que dans un quartier toutes les chaudières se trouvaient sur les toits des immeubles comme dans le jeu !

(Si vous n’avez toujours pas compris pourquoi je ne fais que de parler de Mario Odyssey depuis tout à l’heure, c’est parce que je veux absolument que vous jouiez à ce super jeu). Bref, la vue depuis là-haut était tout bonnement magnifique et je ne suis pas près d’oublier la première activité qu’on a fait dans cette ville car je trouve qu’alors qu’elle n’était que la première, elle nous a déjà montré toute la beauté de la ville en quelques minutes !

Gare Centrale : Après un peu de marche on arrive à notre deuxième destination de la journée : La Gare Centrale. Et en fait je me rends compte en écrivant cet article que pour une gare je n’ai vu aucun train dans celle-ci. Pour aller chercher ton train en fait il faut vraiment s’éloigner du hall car dans le hall et ses alentours je n’ai vu que des restaurants ou d’autres magasins. En attendant la gare était vraiment immense et le hall était gigantesque !

Shake Shack : Après être restés quelques minutes dans cet immense hall, nous sommes partis vers un restaurant que nous avait conseillé des amis et après quelques minutes de recherche on a enfin trouvé le resto indiqué. Et si je dois le noter, j’avoue que je regrette un peu (personnellement) d’avoir suivi le conseil de nos amis car :

-La queue pour commander était longue
-C’était très cher
-Il n’y avait aucun endroit où s’asseoir après tant de marche
-C’était pas vraiment de la nourriture de qualité
-Il n’y en avait pas beaucoup.

Donc, franchement pour rassasier nos pauvres petits ventres affamés et reposer nos pauvres ptites jambes fourbues c’était pas fameux. On peut un peu comparer le Shake Shack New Yorkais au Tim Hortons Canadien ou au McDo français ou toute sorte de fast food en fait.

Galerie des Murmures : Après ce petit repas nous repartiâmes pour un endroit que nous avions déjà repériâmes auparavant quand nous nous perdiâmes pour trouver le restiâme. Cet endroit indiqué dans le guide du routard s’appelait : « La Galerie des Murmures ». Et elle portait très bien son nom car elle avait une capacité bien spéciale : c’est une salle de taille moyenne avec 4 entrées et 4 coins, le toit étant une sorte de cône arrondi qui relie tous les coins entre eux. Sa particularité est très amusante car si vous vous placez dans un des coins de la salle et que vous parlez alors que votre ami est dans le coin en diagonale de vous il va vous entendre car l’architecture spéciale de la pièce permet au son de la traverser de coin en coin même si vous murmurez (évidemment ce n’est pas l’œuvre de micros placés dans chaque coin de la pièce, c’est bien l’œuvre de l’architecture elle-même !) ! J’ai donc voulu essayer et je me suis demandé que se passerait-il si j’écoutais dans un coin alors que celui d’en face était vide ? Et bien ma réponse fut immédiate, à peine j’eus posé mon oreille contre le coin que je l’entendis ! Elle me parlait ! Depuis le paradis, elle attendait que nous passions par là pour me transmettre son message ! Mon intuition ne m’avait pas trompé ! Tuvasfinirdanmonventre V s’adressait à moi depuis le ciel en me parlant dans cette galerie des murmures (que j’appellerai désormais galerie des défunts). Elle me dit alors : « Ne t’inquiètes pas, ce n’est pas grave. Tu ne pouvais rien faire ce n’était pas de ta… », « TU M’ENTENDS LA MADAME DE L’AUTRE CÔTE ?! ». Je me retournai et vis qu’un petit garçon s’était mis dans le coin d’en face et avait crié dans son coin pour tester la galerie. Heureusement, ma soldate Marla avait poussé le petit garçon pour me laisser écouter mon défunt ami. Je réécoutai et tout ce que j’entendis c’est « Bonjour, vous êtes sur le répondeur de Tuvasfinirdanmonventre V, merci de me laisser un message après le bip ». Soudain je sentis une énorme main se poser sur mon épaule : un colosse d’à peu près 2m30 et étant plus proche de la musculature d’un troll que d’un humain se tenait derrière moi. Il me posa une question très simple : « C’est toi qui as poussé mon fiston ? ». Ne voulant pas rejoindre tout de suite Tuvasfinirdanmonventre V, je dénonçai ma cousine. Le papa étant occupé avec ma petite cousine et le garçon étant tout seul, me regardant méfiant, j’énumérai dans ma tête toutes les raisons qui pourraient me pousser à l’étrangler ici même :

-Il a brisé mon seul lien avec Tuvasfinirdanmonventre V
-Il m’a brisé un tympan
-Il a OSE m’appeler « Madame »
-Il m’a dénoncé à son père

Après l’avoir bien enfermé et bâillonné dans la poubelle la plus proche en plaçant un panneau « en réparation » devant celle-ci, je suis allé chercher les restes de ma cousine, qui a très rapidement retrouvé toute son énergie quand je lui ai dit qu’il me restait une chips dans ma poche.

Harry Potter : Après la galerie des murmures, les parents nous ont amenés prendre le métro, mais à chaque fois qu’on leur demandait où nous allions ils détournaient le sujet sur autre chose !!! Après une ligne droite depuis la sortie de métro nous étions arrivés !

Un magasin Harry Potter ! Un magasin Harry Potter !!!! Non mais vous vous rendez compte ! Quelle idée d’amener 2 fans d’Harry Potter comme Marla et moi dans un magasin d’Harry Potter ! Je ne me suis pas posé plus de questions et je me suis engouffré dans ce bonheur pur ! Tout était parfait : un hippogriffe géant en bronze, le serpent de la salle commune de Serpentard, les baguettes magiques de tous les personnages connus qu’on peut acheter, des Bièraubeurre, un fond vert où on peut se filmer en train de voler sur un balai, une pancarte de Hagrid à côté de laquelle on peut se mettre pour mesurer sa taille, les livres de la bibliothèque de Poudlard, etc. Bref, le bonheur !

Après avoir bu une bonne Bièraubeurre (j’ai pas aimé) et avoir acheté une baguette magique (j’ai acheté la baguette de George Weasley et Arthur a acheté la baguette de Sureau), les parents nous ont attaqué par derrière et nous ont bâillonnés puis trainés dehors de force ! Ah les sacripants ! Je n’avais pas fini de compter et de trier par ordre alphabétique toutes les baguettes magiques !

Pâtes : Après une journée mouvementée les parents nous ont ramenés dans le métro et, une fois à la maison, on a mangé un bon plat de pâtes aux beurres (comme des Bièraubeurres mais avec des pâtes et les pâtes c’est meilleur !).

MARDI :

Manhattan : Pour commencer la journée on prend le métro

Et on fait une bonne balade dans Manhattan pour essayer de connaître un peu plus le centre-ville. Pendant cette balade, on va même rencontrer une assez vieille maison étroitement coincée entre deux énormes buildings, ce qui donnait l’impression que les buildings autour essayaient tous les deux de prendre le plus de place possible.

Pendant la balade, on va trouver le camion de SOS fantôme, côte à côte avec une étrange boule en fer écrasée sous un immeuble (à votre avis : elle est arrivée ici puis le building l’a écrasée ou c’est le building qui l’a faite construire pour une idée de design plutôt étrange (répondez dans les commentaires😉)).

Après la question existentielle sur la boule, nous sommes partis pour le World Trade Center. En chemin, on a croisé le siège de l’ONU où flottaient tous les drapeaux de tous les pays existants (d’ailleurs, petite anecdote, tous les drapeaux de l’ONU sont descendus chaque soir par des gardes et remontés chaque matin ; on a même demandé aux gardes qui étaient en train de le faire la véracité de l’information).

Mémorial des deux tours : Nous sommes ensuite allés découvrir le mémorial des deux tours au World Trade Center, où des milliers de gens sont morts à cause de simples fous qui voulaient tout détruire ou alors avec des intentions tout bonnement inexplicables…

On a alors remarqué l’heure et on s’est dit que si on voulait pouvoir prendre un bateau pour la statue de la liberté, il fallait courir car l’entrée pour la file d’attente pour le bateau fermait à 15h. On a donc traversé en quelques minutes tout Chinatown, sans même pouvoir en profiter, avant d’arriver à 100m du début de la file d’attente. D’après ma montre, il était 14h59 et 54 secondes. On a donc couru avec toute notre vitesse vers l’entrée de la file d’attente quand on a vu un pauvre petit chaton coincé dans un arb… Euh… non, rectification : quand on a vu le gardien de l’entrée de la file d’attente lever le bras vers la banderole pour fermer l’entrée de la file d’attente. J’étais en retard, car je venais de sauver le chaton et je criai de toutes mes forces : « Attendez ! Je viens de me rappeler que je n’ai pas de montre !!!! ». Tout le monde s’arrêta, et on vit qu’en fait le gardien de l’entrée de la file d’attente avait tendu son bras juste pour sortir son téléphone pour jouer à candy crush. Le gardien étant trop absorbé par son jeu, nous réussîmes à passer sous son nez discrètement. Comme nos billets ne servaient plus à rien, nous avons réussi à les revendre pour 1000$ le billet à des touristes russes, qui ne comprenaient, ni le français, ni l’anglais, ni la valeur des dollars, car eux ils utilisent le rouble russe (merci wikipedia).

Statue de la liberté : Rien que sur le bateau on pouvait la voir de loin. Sa pose majestueuse en fait frémir plus d’un : Ze Statu auf Lyberti.

Et pour ceux qui pensaient que j’avais beaucoup de chose à dire sur la statue et que j’allais sortir un paragraphe de 38 millions de lignes pour ne rien dire au final, eh ben cette fois non. La statue est très belle, elle est magnifique (c’est pour ça que je vais mettre plein de photos) mais j’ai pas grand-chose à dire dessus. La statue c’est la statue quoi, elle est très grande, imposante et majestueuse mais au bout d’une heure à en faire le tour bah il y a plus grand-chose à faire (surtout qu’on n’a pas acheté les places pour pouvoir monter tout en haut). Donc, on décide d’aller directement à Ellis Island sans nous attarder plus longtemps.

On fait donc une longue nouvelle file d’attente pour pouvoir partir sur Ellis Island et enfin on est arri… QUOI ?!?!!!! En fait, grâce à notre chance phénoménale, on n’avait pas vu qu’Ellis Island fermait à 15h30 et qu’il était 15h55 donc c’est fini… (après c’est vrai que ce n’était quand même pas clair et que c’était écrit nulle part à quelle heure ça fermait (sauf sur le site officiel) et que franchement ils auraient pu nous prévenir sur le bateau et puis aussi blablabla, et blablabla et puis aussi blablabla etc)

Donuts : Après cette immense déception (parce qu’en fait ce n’était pas clair et…) nous avons repris le bateau vers Manhattan.

On décide, pour se réconforter, de prendre des donuts. On choisit donc 2 donuts chacun, qu’on partage ensuite dans le parc et franchement on n’était plus déçu d’avoir raté Ellis Island parce qu’ils étaient TROP BONS (sauf pour Marla, mais aussi la pauvre elle a choisi un donut bleu !). Et, alors qu’on allait reprendre un donut, un pigeon a décidé de lâcher un missile très bien visé, pile sur la boîte à donuts (comment vous dire qu’Arthur qui tenait la boîte s’est ensuite bien lavé les mains).

Statues : Même si on avait déjà vu beaucoup de choses aujourd’hui (Manhattan, le World Trade Center, l’oculus, le mémorial, la statue de la liberté), on avait un dernier truc à faire (sûrement le meilleur et non je ne vais pas vous dire tout de suite ce que c’est, surprise surprise…). Avant d’y aller on décide quand même de passer devant 2 belles statues en bronze de Wall Street, qui représentent apparemment le quartier financier (comme l’explique très bien ce site https://www.partir-a-new-york.com/visiter/monuments-new-york/taureau-wall-street). On découvre donc le taureau, dont on prend quelques photos, et aussi la petite fille qui est un symbole anti-sexisme et qui est placé devant la bourse de New York pour aider les femmes à avoir plus de postes de direction. Le taureau et la petite fille étaient avant placées l’une face à l’autre.

??? : Et voilà, nous arrivons enfin à mon moment préféré de tout New York, et nous nous rendons compte qu’il faudra courir car sinon nous louperons la meilleure chose qu’on peut voir dessus. Comme c’est à 19h, qu’il est 18h45 et qu’il risque d’y avoir du monde, il faut courir (décidément, cette journée c’est plus un marathon qu’autre chose). Maman et moi, on se motive et on arrive pile à temps grâce à notre motivation. Et je pense que certains l’auront déjà deviné, mais depuis le début je parle du coucher de soleil sur le Brooklyn Bridge ! Malheureusement, le soleil n’est pas au rendez-vous à cause des trop nombreux nuages qui le cachent. Même le temps que les limaces qui nous accompagnent arrivent, il n’est toujours pas là… Dépités nous décidons de rester un peu au cas-où mais toujours rien. Des lumières commencent à s’allumer dans les immeubles quand soudain… d’étranges lueurs jaunes nous parviennent de derrière Manhattan, puis des lueurs plus orangées, CA COMMENCE ! Au début, il n’y a qu’une faible lueur jaune, le jaune s’intensifie et une couche d’orange se rajoute par-dessus ; le jaune et le orange se mélangent et créaient une couche de rouge, rouge qui va lui-même se violacer au bout ; le jaune et le orange s’imposent et se placent au milieu de Manhattan, tandis que le rouge se replie sur les bords avec sa légère teinte de violet ; le rouge réattaque, revient au milieu, écrase les autres couleurs, pendant que la fine couche de violet reste imperturbable ; le rouge lui-même change et se transforme en rose flashy à gauche tandis que l’orange se déplace vers la gauche emportant maintenant la belle couche de violet. Le bouquet final commence, avec pour débuter toutes les lumières de la ville qui s’illuminent : du violet, du rose, du rouge, de l’orange, du jaune et même un peu de vert pour les plus rêveurs, caché dans du bleu foncé à présent mais qui se mélange bien avec les autres couleurs !

Franchement, c’est le truc le plus beau que j’ai vu à New York personnellement. Pendant ce temps, le rouge fluo disparaît à l’horizon se laissant engloutir par les lumières de la ville et laissant place au bleu désormais transformé en noir total…

Diner : On a ensuite décidé de partir diner dans Brooklyn, pour sortir un peu de Manhattan, et sur le bout du pont on a rencontré 2 Brooklynois qui étaient très sympathiques. Ils nous ont parlé de New York en général, mais nous ont surtout parlé de Brooklyn ! Ils ont d’ailleurs créé un proverbe : « New York is in Brooklyn ».

Retour : Après avoir mangé, pour rentrer à la maison, Maman, Arthur, Papa et moi avons choisi de rentrer par le pont de Brooklyn puis en métro jusqu’à la maison, alors que les Fortabrosse sont rentrés en métro directement (on a aussi profité du retour pour prendre quelques belles photos des immeubles illuminés !).

MERCREDI :

Vélo : Aujourd’hui, c’est vélo toute la journée ! Et pas vélo dans Manhattan, parce que ça on l’a déjà fait hier, mais vélo dans Central Park (techniquement Central Park c’est dans Manhattan mais bon…) ! Donc, on prend le métro (comme d’habitude) et on va à notre location de vélo. Après ça, on enfourche les bêtes et on fait du vélo toute la matinée. Après environ 1 heure de vélo dans le parc, on va acheter des hot-dogs non loin de Central Park.

Et franchement, pour n’avoir fait qu’une heure dedans pour l’instant, je dois bien admettre que je me demande comment ils ont réussi à construire un parc aussi grand dans une ville qui prend autant de place.

Et une aire de jeu, dans laquelle je vais m’amuser à courir après mon petit cousin et ma petite cousine pendant 7 heures (environ) jusqu’à l’épuisement total. Mes parents me réveillent en me jetant dans le lac, et trempé jusqu’aux os on m’oblige à repartir.

Pour rejoindre l’endroit où on avait fait demi-tour on a encore dû descendre une lonnnnnnnnnnnnnnnnngue descente (à chaque mètre dans cette descente je m’imaginais tout ce qu’on allait devoir remonter après). Après ça, on a dû faire « la montée de la muerte » (comme quoi mes craintes étaient fondées), bon enfin on dit ça mais perso en restant focus ce n’était pas si horrible (en plus y avait un gamin qui devait avoir à peine 8 ans et qui faisait que de me dépasser donc ça me donnait un défi). Une fois en haut, on a dû faire une dernière étape avant d’atteindre le point de non-retou… Euh non pardon : le point de demi-tour. Et cette étape était : « la descente de la muerte ». Après nous être crashés 5 ou 6 fois chacun et être allés à l’hôpital 2 fois, on est arrivé en bas de « la descente de la muerte ».

Baseball et hippopotame : A la fin de la descente on remarque un terrain de baseball et on s’arrête regarder le match pendant 30min. D’après le prof Vincent, on pourrait s’évanouir ou même plus certainement mourir d’une balle de baseball en pleine tête renvoyée par le batteur, donc on fait attention (oublions le moment où on s’est fait exclure du terrain parce qu’on avait attaché Mano devant le batteur). Après cet instant sport, on compte bien finir ce fichu tour du lac une bonne fois pour toute, surtout on ne fera pas de pause pour ne pas se freiner dans notre ténaci… On a fait une pause au bout de 3 minutes… Oui c’est vrai que notre persévérance n’a pas tenu très longtemps, mais au moins y a des hippos ! Des vrais hippos en plus, en plastique pur ! Après cette courte pause (d’une heure et demie au moins), on se rend compte que papa et maman nous ont lâchement abandonnés (en fait, ils nous l’ont dit il y a 1h45 mais on a un peu oublié une fois dans la bouche des (faux) hippos).

Diner : Comme il est 19h30 et qu’on a tous faim, on trouve un très bon resto dans Chinatown et on se téléporte devant little Italie (il n’y a pas de métro plus proche) qu’on traverse en 5 secondes et demi avant d’arriver dans Chinatown où on pénètre dans le resto. Arthur et moi prenons un plat géant de bœuf riz pour lui et de porc riz pour moi. Anne-Laure et Vincent prennent des pâtes frites et du riz cantonnée (Arthur et moi allons les « aider » à finir leur plat). Et pour finir, Mano et Marla prennent une assiette de porc riz pour eux deux. On sort tous du resto avec le ventre explosé et on croise trois personnes dehors qui sont tout aussi explosées que nous, mais plus en mode bourrées. On décide de ne pas rester à côté d’eux très longtemps, et on veut rentrer en métro. Mais malheureusement, comme on est devenu des bouboules, on ne passe plus dans les portes du métro et on doit rouler jusqu’à l’océan, puis flotter à côté du pont de Brooklyn jusqu’à Brooklyn, puis rouler jusqu’au Queens en rebondissant sur les immeubles avant d’arriver une bonne fois pour toutes chez nous !

Ps : comme on ne pouvait pas non plus passer la porte, on a dû passer par la trappe sur le toit puis tous dormir dans la même chambre.

JEUDI :

Brunch : Ooooooooh… Ahhhhhh… J’ai faiimmmm… Jenpeuxpluuuuus… Pourquoionsinfligeçaaaaaaa… Voilà un petit résumé de tout ce que j’ai dit tout le matin jusqu’à 11h. Pourquoi me direz-vous ? Parce que les parents se sont mis en tête que ce serait une bonne idée de faire un brunch et de manger à 11h le petit déjeuner parce que soi-disant : « Non mais c’est pour nous décaler, parce que ce soir on va au Top of the Rock et on va manger giga tard. ». Dans tous les cas, j’avais tellement faim que je ne comprenais plus le langage qu’ils utilisaient. Mais bon, au bout de 54h de marche (environ), on arrive (enfin) à notre resto de bruuuuuuuuunch ! Comme on avait réservé, une belle table pour 8 nous attend et on commande direct ! Et justement, on commande tout ce qu’on peut : du pain beurré avec du jambon, du bacon, des saucisses, des œufs brouillés, du riz, des beans etc. On mange assez pour tenir toute la journée (c’est une blague, c’est une blague les parents, on peut quand même manger à midi (même si du coup il est déjà midi vu qu’on a commencé à manger à 11h45)).

Avant de partir, on va aux toilettes et c’est là qu’on découvre : « le panneau des interdits » ! Voici toutes les choses interdites dans ces toilettes :

Greenwich village : Après ce très gros petit déjeuner, on part visiter Greenwich village dans Manhattan, il porte en effet très bien son nom car il est très vert et très fleuri, donc le nom est bien choisi. On y va notamment pour l’immeuble de Friends. Immeuble qu’on va trouver très vite avant de reprendre la balade dans le verdoyant Greenwich village.

On quitte ensuite Greenwich village et on traverse un parc avec des fleurs de toutes les couleurs et des drapeaux LGBTQIA+ pour revendiquer leurs droits. Ce parc a été bâti après une descente de police au Stonewall Inn, un bar clandestin de Greenwich village où les descentes policières et la criminalisation de l’homosexualité se passaient souvent. Suite à cette descente de police, il y a eu les émeutes de Stonewall, ce qui a entraîné la création du parc si j’ai bien compris.

High Line : Après la balade, on marche un peu jusqu’à arriver à la High line. La High line, comme son nom l’indique, est une longue ligne droite qui était auparavant une ancienne voie ferrée mais maintenant la ville de New York a décidé de la garder en laissant la nature reprendre ses droits sur la voie ferrée et en construisant un chemin longeant la voie végétale. C’était donc une très agréable balade entre nature, fleurs, et quelques… Comment dire… étranges œuvres d’arts.

Mais bon, après un moment je commençais à avoir faim moi ! Parce qu’on avait beau avoir mangé à 11h le petit déjeuner, là il était 15h45 et je commençais sérieusement à avoir faim. J’ai donc demandé à mes parents si on pouvait manger et ce fut un non catégorique car personne n’avait faim à part moi. Pour rallier des alliés à ma cause j’ai demandé à mes petits cousins s’ils avaient faim et soudainement ils se sont rappelés qu’ils avaient faim ce à quoi ils ne pensaient même pas avant que je leur en parle (on est donc à 3 contre 5). Pendant que l’agent Marla harcèle ses parents, l’agent Mano convainc Arthur en imitant les yeux du chat potté :

Arthur n’a donc d’autre choix que de craquer (on est donc à 4 contre 4). On prévient mes parents qu’il y a autant de voix dans chaque camp, mais apparemment les voix des adultes comptent le double. Ce qui, nous sommes tous d’accord, est totalement révoltant (nous sommes donc, à contrecœur à 4 contre 8). Heureusement, avec les efforts combinés de Marla et Mano, ils parviennent à arrêter Vincent et à le mettre dans notre camp tandis que nos parents refusent de changer d’avis (nous sommes donc à 6 contre 6). Maintenant que nous sommes à égalité, il nous reste juste à convaincre une personne, mais malheureusement nos parents imposent une nouvelle règle : en cas d’égalité, c’est l’équipe comportant le plus de parents qui gagne ce qui les place donc à 6 + ½ contre nous qui n’avons que 6. Pour parvenir à convaincre Anne-Laure, on utilise notre dernière carte : on trouve un bon coin pour manger, on s’assoit, on boude et on attend qu’ils craquent et qu’ils nous rejoignent pour manger. Malheureusement, comme Papa décide de nous abandonner tout seuls sur le banc, Vincent hésite à rejoindre Anne-Laure qui suit sa sœur : maman, qui elle-même suit les folles idées et règles de son mari : papa ! Heureusement, on parvient à convaincre Vincent de faire l’inverse et de convaincre Anne-Laure de rester avec nous. Heureusement, il accepte et Anne-Laure nous rejoint, ce qui fait donc 8 contre 4, ce qui oblige nos parents à s’arrêter et à manger ! Je viens donc de vous expliquer comment faire une prise de pouvoir quand on est seul contre 7…

Après un bon repas, c’est le moment de partir pour notre dernière activité du jeudi : le Top of the Rock.

Top of the Rock : Une fois là-bas, et après une longue queue, on est amené tout en haut du Top of the Rock par un bel ascenseur. D’après notre descriptif, il y a 3 étages au Top of the Rock. L’étage le plus bas est le moins rempli, au milieu il y a du monde collé à toutes les barrières avant le vide, et au dernier il y a du monde tout simplement partout. Je reste au dernier étage longtemps et je profite de la vue puis du beau coucher de soleil rougeoyant.

Comme il y avait tout de même trop de monde, je descends d’un étage et je croise maman. Après un petit moment, on trouve même un petit rebord où s’asseoir. Une fois les lumières en train de s’allumer on descend encore d’un étage où on trouve même des petits sièges confortables en extérieur. Après un moment, comme le froid commençait à s’emparer de nous, on décide d’appeler les autres pour se rejoindre. Comme je n’ai pas de téléphone, et que pour une raison inconnue le téléphone de maman n’a quasiment aucun réseau depuis qu’on est aux Etats-Unis, on galère à leur dire de nous rejoindre. Mais on parvient tout de même à passer un minuscule appel où on leur dit où on est et qu’on les attend. Après de bonnes retrouvailles, on redescend le Top of the Rock et avec une bonne grosse faim on court se réfugier dans une bonne pizzeria.

J’allais manger ma pizza et c’est là que je la vis ! J’aurais pu la reconnaître entre des millions d’autres tomates cerises ! C’était le cadavre de Tuvasfinirdanmonventre V ! En réalité, les gardes-frontières ne gardaient pas les tomates et les tomates cerises ! Ils les utilisaient pour les revendre au restaurant ! Ils avaient donc tué Tuvasfinirdanmonventre V juste pour que quelqu’un le mange après ! J’étais horrifié par cette nouvelle, mais en même temps soulagé que ce soit moi qui sois tombé dessus. Au moins, elle pourrait avoir une bonne cérémonie d’enterrement avec ses proches (j’avais oublié à ce moment-là que j’avais mangé tous ses proches dans le train pour lui faire de l’espace dans son bunker…).

VENDREDI :

Museum d’histoire naturelle : Aujourd’hui, on va visiter le muséum d’histoire naturelle de New York toute la journée, et vous allez voir qu’une seule journée c’est trop peu pour visiter en entier ce giiiiiiiiiiiiiiiiiiiiigantesque bâtiment ! On entre par l’entrée (c’est logique) qui s’appelle « Théodore Roosevelt Rotunda », ce qui se traduit par : Rotonde de Théodore Roosevelt. Rotonde veut dire : édifice circulaire (souvent à dôme et à colonnes). Sauf que bah c’est pas une rotonde là où on est. Il y a bien des colonnes mais il manque le dôme. NAN MAIS EN FAIT POURQUOI ILS APPELLENT CA ROTUNDA S’IL N’Y A PAS DE DÔ… STOP, c’est bon on a compris t’es pas obligé de prendre le contrôle colère !

Une fois la lonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnngue queue du hall passé (non en fait, on n’a fait que 3 minutes de queue mais j’aime bien exagérer), on part pour la première salle d’exposition qu’on voit, c’est-à-dire la salle droit devant nous, la salle des mammifères africains ! Et là c’est le WAOUH ! Il y a tout plein d’animaux empaillés, mais ils sont placés dans de telles positions qu’on a plus l’impression de voir des vrais animaux : on voit des combats, des babouins, un décor extrêmement réaliste, des babouins, un arrière-plan peint tropbeauvraimentcestmagnifique, des babouins etc. Ah, et on a même vu des babouins et c’est vraiment le meilleur animal existant sur terre parce qu’en fait ils sont giga intelligents, vu que ce sont nos cousins, et aussi ils sont élégants, non franchement ils sont vraiment magnifiques et… Bon arrêtons-nous là sur mon culte des babouins et je vais plutôt vous montrer en images ce que ça donne :

Après m’être fait trainer de force de devant la cage des babouins empaillés jusqu’à la salle d’après, je me rends compte, après 5 min de râleries, qu’on est entré dans la salle des peuples africains d’il y a longtemps. On apprend plein de trucs sur leurs cultures, leurs croyances, leurs objets du quotidien etc.

Après les peuples africains, on passe dans la salle des oiseaux du monde et c’est un peu comme les mammifères africains, mais avec des oiseaux, et heureusement c’est toujours aussi réaliste !

Après on a dû passer environ trois quart d’heure dans une énooooooorme salle sur les peuples asiatiques. On découvre tout plein d’truc sur leur culture, leurs divinités, leurs habits, leur histoire, leurs statues, leurs coutumes, leurs fresques etc. Et franchement après autant de temps passé dedans on pourrait trouver ça long mais c’était plutôt passionnant !

Evidemment, après Asian People (oui j’en ai marre de tout traduire) on passe à Asian Mammals (ça veut dire mammifères…) et c’est un peu comme les africans mammals mais en asiatiques et c’est tout aussi beau ! Regardez, on a même vu Tigrou :

La ressemblance est frappante non ? Plus sérieusement, voici les magnifiques photos du photographe que je suis :

Après autant d’aventures dans ce splendide musée, on sort de celui-ci pour manger devant celui-ci, parler devant celui-ci, danser devant celui-ci, faire un triple salto arrière retourné + backflip avant de toucher le sol devant celui-ci, rentrer dans celui-ci une deuxième fois, et ne pas faire de queue dans celui-ci puisqu’on a des tickets maintenant.

Après donc un bon repas, on se retrouve dans le « mémorial hall » de Théodore Roosevelt au premier étage et non pas dans la rotonde de Théodore Roosevelt, qui n’était pas une rotonde en faitunh.

On va ensuite passer un petit moment dans la salle des papillons. Une fois sortis du sas de protection pour qu’aucun papillon ne s’échappe, on découvre une colonie de papillons multicolores, flashys, trop mignons. C’était tellement beau que je ne saurais le décrire et que je préfère vous le montrer en image :

Après les papillons, on passe encore beaucoup de temps dans la salle des peuples d’Amérique du Sud. On découvre même la terrifiante reconstitution d’un tombeau maya ! Pourquoi il y a autant de crânes partout là… ? Un tombeau c’est fait que pour une personne pas pour dix et AAAAAAAAAAAAAAAAAH !!! Mais c’est quoi ça ?! C’est… C’est un collier de colibris ?! C’est un collier avec des cadavres de colibris multicolores attachés autour ?! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!! (Je ne montrerai pas ces images pour dispenser les âmes sensibles d’une crise cardiaque, mais je vais montrer à la place d’autres images que j’ai pu capturer 🙂

Après, on passe au Mexique où il n’y avait pas grand-chose d’intéressant pour moi. Mais par contre, on a fait la rencontre d’un visage géant qui, vous allez le voir, a la capacité de changer à volonté alors qu’il n’est qu’une grosse statue en pierre :

Ensuite, voyant que le temps nous manquerait, nous couratiâmes jusqu’à une salle que nous voulatiâmes absolument faire à un moment ou à un autre. Alors nous montatiâmes jusqu’aux squelettes de dinosaures à l’étage quatre tout en passantiâmes avec tristesse et rapidité devant nos confrères les primates, les singes et les babouins…

Une fois en haut, on a compris qu’en fait tout l’étage 4 était réservé aux squelettes de dinosaures ! On a donc visité tout cet étage qui a été mon 2eme préféré, parce que mon préféré c’est celui des babouins. On a même fait la rencontre de Rexou qui est dans le film « Une nuit au musée 1 », « Une nuit au musée 2 » et « Une nuit au musée 3 » (je vous conseille de les voir). C’était trop beau et je préfère vous les montrer en photo :

On se balade encore dans l’étage 3 et cette fois on arrive au milieu des reptiles et amphibiens. C’est un peu comme les mammifères africains mais sans décor peint derrière, juste avec un décor créé de toutes pièces et des animaux empaillés ce qui est déjà très beau.

On poursuit notre visite avec les mammifères d’Amérique du Nord et c’est je pense un de mes endroits préférés du musée pour sa simple beauté. C’est exactement comme les mammifères africains mais je ne sais pas pourquoi, je trouve ça beaucoup plus beau et réaliste. Assez parlé, voilà des photos :

Comme le temps nous est maintenant compté, on visite en même pas 5 minutes la salle de la biodiversité et l’immense salle de la vie océanique.

Je serais bien resté plus longtemps dans la salle sur la vie océanique mais on avait quelque chose de plus important à faire : trouver la statue de GUM GUM (je vous ai déjà dit d’aller voir « Une nuit au musée » ?).

On file donc dans la salle sur les peuples du pacifique, et on a peur que GUM GUM soit loin car la salle est énorme et qu’il nous reste vraiment que 10 minutes avant la fermeture du musée. Heureusement, on le trouve juste là, à l’entrée de la salle, caché derrière un mur. On prend quelques photos avec et on repart le plus vite possible tout en bas.

On retrouve Maman et Papa (on s’était séparé car ils préféraient rester dans la salle sur la vie océanique). Maman et moi partons de suite pour les Gemmes et Minéraux et c’était vraiment magnifique, mais je n’ai pas le temps de vous les décrire car il ne reste PLUS QUE 6 MINUTES avant la fermeture du musée…

On passe à la salle juste à côté, qui est la salle des météorites, et on découvre plein de trucs trop bien franchement, mais là je n’ai vraiment plus de temps car il ne reste plus que 3 minutes !

Cela fait 15 minutes que partout des gardes nous disent de sortir. Du coup, on commence à peine les Humans Origins qu’un garde nous prend par la peau du cou et nous jette dehors !

Juste après, on voit Marla se faire éjecter du 3^ème étage depuis la fenêtre de la salle de GUM GUM, en criant : « Laissez-moi toucher GUM GUUUUUUUUUUUUM !!! ». Heureusement, Maman la rattrape pendant que je réceptionne Mano in extremis, tombant du 4^ème étage avec un os de dinosaure dans les mains. Arthur et Papa sont éjectés du deuxième étage mais personne n’est là pour les rattraper ! Heureusement Arthur se tient à un tentacule de poulpe dépassant de la fenêtre, et papa tient son pied. Anne-Laure et Vincent sont éjectés eux aussi du 1^er étage, comme nous, mais depuis la salle des minerais. Après avoir sauvé tout le monde (sauf Arthur et Nico : on ne sait pas où ils sont passés ?), on part pour Time square pour un magasin de souvenirs où on achète moulte et moulte choses et où Arthur et Nico nous rejoignent une heure plus tard en parlant de tentacule de poulpe et de pompiers (perso, je n’ai toujours pas compris ce qu’ils ont fait). On fait chacun nos emplettes et on rentre pour la dernière fois en métro jusqu’à la maison… Alors, au revoir Manhattan ! On mange notre dernier dîner dans cette maison et on va se coucher, triste que ce séjour soit fini le lendemain et qu’Arthur et Papa aient réussi à nous retrouver…

SAMEDI :

Départ : Et voilà, c’est fini ! Après nous être réveillés à 5h du mat, on range tout, on paye le airbnb, on dit au revoir au Queens, on prend le métro jusqu’à Manhattan et on se rend compte que nos adieux d’hier n’avaient pas lieu d’être du coup. On se dirige vers le hall d’enregistrement du train pour rencontrer les enregistreurs. Rencontre dont on se serait bien passé car c’était les gens les plus stressés du monde! En effet, dès qu’on est arrivé et aussi surprenant que cela puisse paraître, ils nous ont dit : « train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket, train ticket » (j’en ai écrit suffisamment ou pas ?) (Ah et pour les gens qui ne sont pas bilingues comme moi, « train ticket » ça veut dire « ticket de train »). Après qu’on leur ait montré nos tickets de train, ils nous ont gentiment demandé nos passeports en disant, je cite : « passport, passport, passport, passport, etc. » (ça veut dire passeport et franchement vous pouvez aller demander à Google traduction des fois quand même non mais oh!).

Après cette agression verbale on monte dans le train pour 11h00 pendant lesquelles nous allons dormir tout du long…

Ps : Déjà merci d’avoir tout lu et maintenant dernier Mini-Jeu avant que vous ne partiez ! Remplissez cette carte à vue d’œil avec le nom des différents quartiers de New York :

Et maintenant voici la réponse :

Et oui car: NEW YORK CITY IS IN BROOKLYN!!!